Post-Sapiens Les êtres technologiques
-
George Berkeley, philosophe irlandais du 18ème siècle, a défendu l’immatérialisme, selon lequel la matière n’existe que par la perception individuelle. En 1984, William Gibson propose le terme de « cyberespace » dans « Neuromancien », et Neal Stephenson introduit le concept de métavers en 1992.
-
De nos jours, de nombreuses entreprises, notamment les « 7 Magnifiques » (Alphabet, Amazon, Meta, Apple, Microsoft, Tesla et Nvidia), investissent dans des technologies avancées comme l’intelligence artificielle et l’Internet des objets pour favoriser leur croissance. Cette évolution soulève des questions sur le transhumanisme, la manière dont notre corps, notre pensée et notre comportement seront influencés à l’avenir.
-
Héphaïstos, dieu du Feu et de la Métallurgie, inventa les premiers robots androïdes dans la mythologie grecque, interrogeant les relations entre technologie et vie. D’autres mythes, comme celui de Pygmalion, illustrent cette quête de création artificielle, culminant avec les œuvres modernes telles que « Frankenstein » et les robots contemporains.
-
Le texte explore des concepts de biologie moléculaire, en détaillant les différences entre procaryotes et eucaryotes, le rôle essentiel des cellules et leur composition. Il décrit les processus de transcription et traduction génétiques, l’importance des ribosomes et des acides aminés dans le métabolisme, ainsi que les avancées en manipulation génomique, notamment CRISPR/Cas9 et ses variantes, et leurs implications éthiques et médicales.
George Berkeley, philosophe irlandais du 18ème siècle, a défendu l’immatérialisme, selon lequel la matière n’existe que par la perception individuelle. En 1984, William Gibson propose le terme de « cyberespace » dans « Neuromancien », et Neal Stephenson introduit le concept de métavers en 1992.
De nos jours, de nombreuses entreprises, notamment les « 7 Magnifiques » (Alphabet, Amazon, Meta, Apple, Microsoft, Tesla et Nvidia), investissent dans des technologies avancées comme l’intelligence artificielle et l’Internet des objets pour favoriser leur croissance. Cette évolution soulève des questions sur le transhumanisme, la manière dont notre corps, notre pensée et notre comportement seront influencés à l’avenir.
Héphaïstos, dieu du Feu et de la Métallurgie, inventa les premiers robots androïdes dans la mythologie grecque, interrogeant les relations entre technologie et vie. D’autres mythes, comme celui de Pygmalion, illustrent cette quête de création artificielle, culminant avec les œuvres modernes telles que « Frankenstein » et les robots contemporains.
Le texte explore des concepts de biologie moléculaire, en détaillant les différences entre procaryotes et eucaryotes, le rôle essentiel des cellules et leur composition. Il décrit les processus de transcription et traduction génétiques, l’importance des ribosomes et des acides aminés dans le métabolisme, ainsi que les avancées en manipulation génomique, notamment CRISPR/Cas9 et ses variantes, et leurs implications éthiques et médicales.
L’article explore l’évolution technologique de l’humanité, des premiers outils en Afrique il y a 2,7 millions d’années aux avancées modernes telles que l’intelligence artificielle et les nanotechnologies. Il examine comment ces innovations impactent la définition et l’avenir de l’être humain, abordant le transhumanisme et les implications éthiques de l’amélioration humaine.
Le texte explore le rôle de la parole et de l’intelligence dans la création selon divers mythes, notamment celui de Ptah en Égypte ancienne. Ptah crée par l’esprit et la parole, similaire au Logos biblique. L’analyse relie ces idées aux théories scientifiques modernes et aux influences culturelles sur les représentations divines à travers l’histoire.
Le texte traite des défis environnementaux et des ressources planétaires, en soulignant deux dates importantes : le 21 septembre 2011, marquant l’Overshoot Day, et le 31 octobre 2011, marquant le passage à 7 milliards d’humains. Il critique le concept de « développement durable » comme étant une contradiction, appelant plutôt à une « décroissance soutenable » pour assurer la survie et le bien-être de l’humanité et des écosystèmes.
La Wicca, une variante moderne du néopaganisme, se base sur un dualisme divin (Déesse et Dieu) et valorise la nature, la réincarnation, et des pratiques magiques. Popularisée par Gerald Gardner dans les années 1940, elle rejette le prosélytisme, fonctionne sans structure centralisée et s’inspire de traditions païennes et occultes européennes.
Le texte explore l’essor des croyances paranormales et présente la zététique comme une méthode importante pour développer l’esprit critique face à ces phénomènes. En retraçant ses origines antiques et son évolution, il souligne l’importance de la rigueur scientifique et du doute raisonné dans la recherche de la vérité.
Le texte explore la notion de « réplicateurs » telle que définie par Richard Dawkins, axée sur la capacité de certaines entités à se copier dans des environnements spécifiques. Il détaille cinq réplicateurs connus : gènes, virus biologiques, prions, mèmes et virus informatiques. La mémétique étudie la transmission culturelle sous l’angle de l’évolution darwinienne, en intégrant diverses disciplines. Le concept s’étend ensuite aux technologies numériques et nanotechnologiques, notamment l’idée des tèmes ou réplicateurs technologiques, soulignant les risques et implications potentielles pour l’humanité et l’évolution.
Le concept de Singularité technologique évoque une époque où le progrès technologique sera si rapide et inévitable qu’il transformera irréversiblement la vie humaine. Originellement un terme médiéval désignant ce qui est unique, il a évolué pour englober des notions en mathématiques et astrophysique avant d’être adopté par la futurologie, le transhumanisme et l’extropianisme, qui envisagent des améliorations radicales des capacités humaines et la fusion avec la technologie. La convergence NBIC (Nanotechnologies, Biotechnologies, Informatique et Sciences Cognitives) accentue ce futur hyper-technologique, potentiel prélude à des évolutions considérables voire apocalyptiques.
Libéralisme et humanisme, sont ils deux concepts incompatibles… Cette incompatibilité implique-t-elle que ces deux termes sont radicalement opposés ou bien cela sous entend que le libéralisme ne peut pas s’intégrer dans l’humanisme ou vice versa ? Pour tenter d’apporter un éclairage a ce questionnement, essayons d’abord de définir chacun de ces concepts afin d’en dégager leurs principales tendances. Le terme...